En Haïti, des personnes handicapées ont été déplacées d'un hébergement provisoire à un autre en raison du récent tremblement de terre, d'un incendie et d’une recrudescence de la violence des gangs. À la veille de la Journée internationale des personnes handicapées, célébrée chaque année le 3 décembre, ces personnes ont enfin pu trouver un endroit sûr où se loger.
"Les personnes handicapées ont des capacités et sont égales aux autres. Il est temps que le monde le comprenne", a déclaré Antonio Palma, volontaire des Nations Unies au Bureau du Coordonnateur résident au Guatemala.
"Après m'avoir violée, il m'a jetée dehors en me disant que j’étais encore une enfant. C'est la première fois que je parle de ça à quelqu'un. Avant, j'avais peur d’en parler", nous confie Elisabeth*, une adolescente burundaise âgée de 16 ans, dont la vie a basculé il y a quatre ans.
Les équipes de pays de l’ONU en Bolivie, au Paraguay et en Argentine ont récemment achevé une mission de terrain de dix jours lors de laquelle elles se sont rendues dans des localités situées dans la plus grande forêt sèche du monde, le "Gran Chaco", lequel constitue aussi le deuxième plus grand biome forestier d'Amérique du Sud et s'étend sur une superficie de plus de 1,14 million de kilomètres carrés répartis sur le centre et le nord de l'Argentine, le sud-est de la Bolivie et l'ouest du Paraguay.
Un diagnostic de séropositivité au VIH ne devrait pas être l'équivalent d’une condamnation à mort. C’est la conviction de Maman Sylvie, une femme congolaise séropositive de 47 ans qui vit à Brazzaville et vient en aide aux personnes vivant avec le VIH/sida en République du Congo.
Les équipes de pays de l’ONU travaillent sans relâche avec les autorités et les partenaires, dans le monde entier, pour répondre à la pandémie en cours et à d'autres défis multidimensionnels. Aujourd'hui, nous mettons en avant certaines de leurs interventions coordonnées.
Les Haïtien(ne)s qui ont été touchés par le séisme dévastateur qui a frappé le sud-ouest du pays en août dernier ont fait preuve d'une "résilience qui fait chaud au cœur", selon un membre du personnel de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), qui a soutenu les efforts de relèvement au lendemain de la catastrophe.
Les jeunes ont des perspectives d'emploi et de carrière limitées en Iraq. Il y a plusieurs causes à cela. Des années de conflit et d'instabilité. Un secteur privé balbutiant. Un manque de diversification économique. Une situation de sous-investissement qui se prolonge.
Le Yémen est en guerre depuis plus de 6 ans et, pourtant, des migrants en provenance d'autres pays continuent d’y affluer. La plupart d'entre eux espèrent poursuivre leur chemin vers le nord pour se rendre en Arabie Saoudite, où de nombreuses opportunités de travail sont offertes aux travailleurs journaliers. Mais beaucoup d'entre eux sont kidnappés par des passeurs et retenus pendant des jours, voire des mois, jusqu'à ce que leur famille paie une rançon...
Les enfants des familles touchées par le séisme de grande ampleur qui a dévasté une grande partie du sud-ouest d'Haïti en août dernier reçoivent gratuitement des repas chauds à l'école dans le cadre d'une initiative du Programme alimentaire mondial (PAM) visant à soutenir le rétablissement des communautés les plus vulnérables du pays.