Le Costa Rica peut se féliciter de sa gestion de la pandémie de COVID-19. Alice Shackleford, la Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Costa Rica et María Dolores Pérez-Rosales, la Représentante de l'OMS dans le pays, expliquent pourquoi ce petit pays d'Amérique centrale parvient à limiter le nombre de cas à un niveau bas et à maintenir sa population en bonne santé
Les entités de l'ONU membres du Groupe des Nations Unies pour le développement durable en Amérique latine et Caraïbes (Région LAC) ont exprimé leur inquiétude concernant l'impact profond de la pandémie de COVID-19 sur la santé, la sécurité et la situation économique de millions de réfugiés et de migrants dans la région LAC et ont appelé à une mobilisation internationale accrue pour aider les gouvernements à amplifier leurs interventions en accordant une attention particulière aux plus vulnérables, notamment les femmes et les enfants.
En Azerbaïdjan, même à l’heure de la pandémie, les centres de ressources pour femmes continuent d'offrir un espace sûr à plus de 3.000 femmes rurales, leur permettant d’échanger des idées sur l'amélioration de leurs moyens de subsistance par l'autonomisation économique.
"La COVID-19 pourrait engendrer un bilan désastreux au Malawi", selon la Coordonnatrice résidente des Nations Unies, Maria Jose Torres. "Même un nombre relativement faible de cas pourrait submerger le système de santé, provoquer des pénuries alimentaires et inverser la trajectoire de développement qui a été celle du pays ces dernières années." Mme Torres affirme qu'une approche systématique est nécessaire pour éviter ce scénario.
Avec le soutien de l'entreprise sociale RLabs, Allan a co-lancé Zlto, une application web primée de récompenses numériques qui a aidé plus de 2 millions de jeunes à trouver leur voie. Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, Zlto a été rapidement réorientée pour aider à stopper la propagation du virus et atténuer l'impact social et économique de la crise.
New York, le 27 avril 2020 - La crise de la COVID-19 est une urgence sanitaire qui a provoqué une récession historique et entraîné des niveaux records de pauvreté et de chômage, engendrant une crise humaine sans précédent dont les effets sont les plus dévastateurs sur les plus démunis, notamment sur les femmes et les enfants pauvres. Les Nations Unies (ONU) ont publié aujourd’hui une feuille de route destiné à aider les pays à trouver le chemin de la relance sociale et économique.
À Rio de Janeiro, des photographes s'intéressent aux droits de l'homme des groupes privés de droits qui vivent dans les bidonvilles de la ville brésilienne.
Lorsqu'une catastrophe survient, les garçons et les hommes ne sont pas exposés aux mêmes vulnérabilités que les filles et les femmes. Ces différences déterminent la façon dont les uns et les autres vivent la catastrophe et s'en remettent. L'inégalité entre les sexes constitue l'une de ces vulnérabilités. Les femmes représentent plus de la moitié de la population du Cambodge. Pourtant, dans ce pays comme dans le reste du monde, lorsqu'il faut se préparer à affronter une catastrophe et réagir, les femmes sont sous-représentées dans des proportions considérables.
Au Yémen, l'électricité est inexistante dans de nombreuses régions, ce qui limite l’accès des populations aux services de base et accroît leur souffrance. Presque toutes les écoles sont privées d’une source d'électricité adéquate, ce qui empêche les élèves d'avoir accès à l'eau potable et à des services d'assainissement, dans ce pays qui a connu la pire épidémie de choléra de l'histoire, avec plus d'un million de cas, dont plus de la moitié étaient des enfants.