L'objectif du programme COVAX soutenu par l'ONU est de permettre à environ un quart de la population des pays les plus pauvres de bénéficier de deux milliards de doses de vaccin contre la COVID-19 d'ici à la fin de 2021. Quels sont les principaux défis à surmonter pour que cette entreprise mondiale historique puisse être menée à bien ?
Dans les pays de la région Caraïbes, l’ONU apporte aux jeunes femmes et aux mères célibataires le soutien dont elles ont besoin pour faire face aux difficultés engendrées par la pandémie et réaliser leur potentiel. Nous avons choisi de présenter ici les projets mis en œuvre dans ce cadre par l’ONU à Trinité-et-Tobago et, plus au nord, à Sainte-Lucie.
Chaque jeudi, Jennifer Barros se rend à Rondon 3, un camp de réfugiés situé dans le nord du Brésil, près de la frontière avec le Venezuela. Jennifer enseigne le portugais dans ce camp où vivent 844 réfugiés et migrants vénézuéliens.Kaleth Colmenares, 12 ans, attend toujours Jennifer à l'école. En février dernier, il a commencé à fréquenter une école publique brésilienne et commençait tout juste à apprendre le portugais quand la pandémie de COVID-19 a frappé. Aujourd'hui, une fois par semaine, il bénéficie de séances de tutorat dans plusieurs matières, dont le portugais.
Dans ce rapport annuel, le Comité exécutif conjoint du gouvernement albanais et de l’ONU en Albanie présente l’état d'avancement, en 2020, de la mise en œuvre du Programme de coopération pour le développement durable 2017-2021.
Les données sont claires. Les femmes n’ont jamais occupé autant de postes de décision dans le secteur public, mais l'égalité est encore loin d'être atteinte : les femmes n'occupent que 21 % environ des postes ministériels dans le monde et seuls 22 pays sont gouvernés par une femme. Au rythme où vont les choses, l'égalité entre les sexes ne sera pas atteinte dans les gouvernements avant 2150, c’est-à-dire avant 130 ans. Mais les femmes persévèrent et leurs actions continuent à apporter la preuve que lorsqu'elles dirigent, elles apportent des changements qui transforment leur communauté et le monde tout entier. Ces changements sont vitaux à l’heure de la COVID-19, du changement climatique, de l'aggravation des inégalités, des conflits et du recul démocratique.
En cette année 2021, la Journée internationale de la femme intervient à un moment où le peuple syrien traverse une période de difficultés extraordinaires. Cette semaine marquera le dixième anniversaire d'une crise qui a causé des pertes incommensurables et entraîné des besoins humanitaires multiples et croissants dans tout le pays.
Les inégalités entre les sexes nuisent aux femmes et aux filles et empêchent des sociétés entières de se développer. Lorsque les femmes sont libres, égales aux hommes et autonomes, elles sont plus heureuses sur le plan personnel et en meilleure santé et elles contribuent de manière plus significative à la vie de leur famille, de leur communauté et de leur pays.
L'équipe de l’ONU en Serbie se consacre depuis longtemps à la lutte contre les inégalités entre les sexes. Elle œuvre à ce qu'aucune femme ou fille en Serbie ne soit laissée pour compte. Elle travaille pour cela sur plusieurs fronts : élimination des mariages d'enfants, élimination de la violence domestique, promotion de la santé des femmes pendant la pandémie de COVID-19, etc.
Le Fonds conjoint des Nations Unies pour les objectifs de développement durable a annoncé la création d’un portefeuille de 41 millions de dollars destiné à catalyser des financements stratégiques en vue d'accélérer la réalisation des objectifs de développement durable (ODD). Cette subvention porte à 223 millions de dollars le montant des investissements du Fonds conjoint pour les ODD. Elle englobe le financement de programmes de protection sociale intégrée et un certain nombre d’investissements dans les ODD dans 112 pays.
Du déploiement de robots pour le dépistage du virus à l'achat et à la livraison de vaccins dans le monde entier, les équipes de pays des Nations Unies soutiennent sans relâche les efforts des autorités locales et nationales dans la lutte contre la COVID-19.
La vie peut être très difficile dans les villages ruraux du sud du Niger. Certaines années, comme l'année passée et celle qui l’a précédée, les récoltes sont ravagées par les insectes. Et surtout, le climat peut être rude. Le mercure peut dépasser les 40 degrés pendant la saison chaude et les pluies peuvent être violentes et torrentielles pendant la saison humide. Un jour, se souvient Asma Abdou, "Une forte pluie a commencé à tomber à 4 heures de l'après-midi. À 7 heures, j'ai mis les enfants au lit sous une moustiquaire". Asma a pris cette habitude pour protéger ses enfants des maladies transmises par les insectes, comme le paludisme.