En cette année 2021, la Journée internationale de la femme intervient à un moment où le peuple syrien traverse une période de difficultés extraordinaires. Cette semaine marquera le dixième anniversaire d'une crise qui a causé des pertes incommensurables et entraîné des besoins humanitaires multiples et croissants dans tout le pays.
Les données sont claires. Les femmes n’ont jamais occupé autant de postes de décision dans le secteur public, mais l'égalité est encore loin d'être atteinte : les femmes n'occupent que 21 % environ des postes ministériels dans le monde et seuls 22 pays sont gouvernés par une femme. Au rythme où vont les choses, l'égalité entre les sexes ne sera pas atteinte dans les gouvernements avant 2150, c’est-à-dire avant 130 ans. Mais les femmes persévèrent et leurs actions continuent à apporter la preuve que lorsqu'elles dirigent, elles apportent des changements qui transforment leur communauté et le monde tout entier. Ces changements sont vitaux à l’heure de la COVID-19, du changement climatique, de l'aggravation des inégalités, des conflits et du recul démocratique.
Les Yéménites endurent actuellement la pire crise humanitaire que connaisse le monde, une catastrophe aggravée par les effets de la pandémie de COVID-19 et d’une sévère crise économique. Les deux tiers de la population ont besoin d'une aide humanitaire pour survivre. Plus de 16 millions de Yéménites souffriront de la faim cette année.
La Côte d'Ivoire est devenue, le 28 février, le deuxième pays d'Afrique, après le Ghana, à déployer des vaccins contre la COVID-19 dans le cadre du mécanisme COVAX. L’équipe de l’ONU sur le terrain est fière d'avoir aidé les autorités à mener à bien cette entreprise.
Les équipes de pays des Nations Unies se mobilisent dans le monde entier pour apporter un appui essentiel aux autorités locales et nationales dans le cade du déploiement des programmes de vaccination contre la COVID-19. Elles interviennent également de manière très proactive pour freiner l'augmentation du nombre de cas d'Ebola en République démocratique du Congo et en Guinée.
Le Coordonnateur résident des Nations Unies et les représentants de l'équipe de pays des Nations Unies en Guinée se sont rendus à Nzérékoré, en Guinée, pour évaluer la propagation du virus Ebola et aider le pays à élaborer un plan d'intervention efficace.
Du déploiement de robots pour le dépistage du virus à l'achat et à la livraison de vaccins dans le monde entier, les équipes de pays des Nations Unies soutiennent sans relâche les efforts des autorités locales et nationales dans la lutte contre la COVID-19.
Cabo Verde a récemment introduit dans son calendrier vaccinal national un vaccin pour prévenir le cancer du col de l'utérus associé au papillomavirus humain (PVH) chez les filles et les adolescentes. Le papillomavirus humain (PCH) se transmet par contact sexuel et est responsable de 70 % des cas de cancer du col de l'utérus enregistrés dans le monde.
La lutte contre la COVID-19 se poursuit tout autant que le travail des équipes de pays de l’ONU à travers le monde. Celles-ci fournissent des équipements médicaux et de protection individuelle et aident les autorités à mettre en place des programmes nationaux de vaccination et, plus globalement, à répondre à la pandémie et à se relever de la crise.