En amont de la COP 26, dont le coup d'envoi a été donné le 31 octobre, un Dialogue de haut niveau sur l'énergie a été convoqué par le Secrétaire général des Nations Unies le 24 septembre 2021 sous le thème "Accélérer les efforts en vue d’atteindre l'ODD7 à l’appui du Programme 2030 et de l'Accord de Paris". La veille de ce Dialogue, les Secrétaires exécutives des cinq commissions régionales de l'ONU ont publié une déclaration commune appelant à une coopération régionale renforcée en vue de développer des solutions fondées sur la nature et des solutions technologiques permettant de capturer le CO2 émis dans l'atmosphère et d’assurer son stockage à long terme :
Le moment est venu de dire : « Ça suffit ! » Détruire la biodiversité ? Ça suffit ! S’autodétruire à cause du carbone ? Ça suffit ! Jeter la nature à l’égout ? Ça suffit ! Brûler, forer et excaver toujours plus profond ? Ça suffit ! Nous sommes en train de creuser notre propre tombe.
Le monde est confronté à de multiples défis : une pandémie, une crise climatique et des urgences humanitaires de plus en plus complexes qui dépassent le cadre des frontières nationales. Ces défis sont aggravés par des attaques contre la démocratie et des violations des droits de l'homme, en particulier de ceux des femmes et des filles. Le gouvernement du Bangladesh et l'ONU ont uni leurs forces pour faire face à ces crises.
La Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes a commencé. L'ONU a appelé les dirigeants des pays d’Amérique latine et des Caraïbes - une région qui compte sept des pays les plus riches du monde en termes de biodiversité - à intensifier leurs efforts en vue de restaurer les écosystèmes, ces écosystèmes dont nous avons tant besoin. Cet appel intervient au moment où les pays des Caraïbes se préparent à affronter une saison active d’ouragans.
Discours du Secrétaire général de l'ONU à l'Université de Columbia : "Nous faisons face à une pandémie dévastatrice, le réchauffement planétaire atteint de nouveaux sommets, la dégradation de l’environnement n’a jamais été pire et nous accusons de nouveaux reculs sur la voie des objectifs mondiaux qui pourraient rendre possible un développement plus équitable, plus inclusif et plus durable..."