La pandémie nous a rappelé de manière brutale que si nous voulons construire l'avenir sur de meilleures bases, nous devrions commencer par regagner la confiance des populations en leur garantissant le droit à l'information et en faisant en sorte que les corollaires de ce droit que sont la liberté d'expression et le droit de réunion pacifique soient respectés et protégés.
En amont de la COP 26, dont le coup d'envoi a été donné le 31 octobre, un Dialogue de haut niveau sur l'énergie a été convoqué par le Secrétaire général des Nations Unies le 24 septembre 2021 sous le thème "Accélérer les efforts en vue d’atteindre l'ODD7 à l’appui du Programme 2030 et de l'Accord de Paris". La veille de ce Dialogue, les Secrétaires exécutives des cinq commissions régionales de l'ONU ont publié une déclaration commune appelant à une coopération régionale renforcée en vue de développer des solutions fondées sur la nature et des solutions technologiques permettant de capturer le CO2 émis dans l'atmosphère et d’assurer son stockage à long terme :
Le moment est venu de dire : « Ça suffit ! » Détruire la biodiversité ? Ça suffit ! S’autodétruire à cause du carbone ? Ça suffit ! Jeter la nature à l’égout ? Ça suffit ! Brûler, forer et excaver toujours plus profond ? Ça suffit ! Nous sommes en train de creuser notre propre tombe.
Si le monde veut remporter la victoire contre la COVID-19 et se reconstruire sur des bases plus solides, il doit aussi parvenir à réaliser une meilleure égalité entre les sexes. Les deux victoires sont étroitement liées. C'est pourquoi, en réponse à la crise, de nombreux pays travaillent à faire en sorte que davantage de femmes occupent des postes à responsabilité.
Le regard perdu, Hama Sorka, un pêcheur de 75 ans de la localité de Saguia, à Niamey, au Niger, contemple l’emplacement où se dressait sa maison avant d’être emportée par les inondations qui ont ravagé sa commune en octobre 2020.
"J'ai récemment remonté la côte ouest du Yémen, le long d'une étroite bande de terre située entre les lignes de front, pour essayer d’aller à la rencontre des familles qui n'ont pas vraiment pu bénéficier d’une aide humanitaire. Les habitants de ces régions avaient désespérément besoin de nous raconter leur histoire.
Si le multilatéralisme reste "engagé à résoudre les défis mondiaux", il "peine à trouver la voie d'une mise en œuvre efficace", a déclaré dimanche la Vice-Secrétaire générale de l'ONU, à l'occasion de la Journée des Nations Unies.
Le 24 octobre sera la "Journée d'honneur" Nations Unies à l'Expo 2020 de Dubaï. La Vice-Secrétaire générale des Nations Unies Amina Mohammed participera en personne à la cérémonie et prononcera le discours d'ouverture.
À l’occasion de la Journée des Nations Unies, faisons corps autour de ces idéaux et soyons à la hauteur de la promesse, du potentiel et de l’espoir qu’incarne l’ONU.
Parmi les nombreux changements qu’a opérés l’ONU dans sa manière de travailler sur le terrain depuis trois ans, il y a le fait qu’elle utilise désormais les données pour renforcer de manière radicale la transparence et l’application du principe d’obligation redditionnelle. Il s'agit là d’un pilier essentiel de la réforme du système des Nations Unies pour le développement.