Compte tenu de l'ampleur et la portée de la crise de la COVID-19, les équipes de l’ONU travaillent ensemble, sous la direction des coordonnatrices et coordonnateurs résidents, sur tous les aspects de la réponse. En ce 24 juillet 2020, nous avons choisi de présenter un certains nombre d’actions menées par l’ONU de manière coordonnée à travers le monde afin d’aider les pays à se remettre du choc sanitaire, social et économique provoqué par la pandémie.
Dirigées par des Coordonnateurs/trices résidents/tes, les équipes de pays des Nations Unies travaillent dans le monde entier avec les gouvernements et leurs partenaires pour lutter contre la COVID-19. Nous mettons ici en avant certaines de leurs interventions coordonnées à la date du 17 juillet 2020.
Au cours des deux derniers mois, le système éducatif monténégrin a montré de manière claire que la technologie peut être utilisée pour offrir des possibilités d'éducation à tous.
Outre ses conséquences sanitaires, la pandémie de COVID-19 a entraîné une privation de libertés. La limitation des déplacements a un impact sur l'emploi et sur les moyens de subsistance des personnes. Même si les difficultés rencontrées sont nombreuses, la liberté de vivre à l'abri de la violence ne peut, en aucun cas, être sacrifiée : le droit de vivre une vie sans violence est un droit humain fondamental...
Les mesures de confinement poussent de plus en plus d'enfants à se connecter à Internet pendant la pandémie de COVID-19, entraînant une augmentation sans précédent du temps passé devant les écrans et augmentant les risques pour des millions de jeunes, a déclaré l'ONU mardi.
Pour faire face à ce que le Secrétaire général, Antonio Guterres, a décrit comme la plus grande crise internationale depuis la Seconde Guerre mondiale, les équipes de l’ONU ont organisé la riposte autour de neuf axes stratégiques. Découvrez leur action.
Sheldon Yett, le représentant de l'UNICEF pour le Pacifique a fait remarquer qu'en quelques mois seulement, la COVID-19 avait "bouleversé la vie des enfants dans le Pacifique" et dans la plupart des autres régions du monde, déclarant que les enfants étaient les "victimes invisibles de cette pandémie".